Alors que certains trouvent dans le métro le refuge matinal pour espérer quelques heures de sommeil que la nuit vagabonde ne leur a pas offerte, la population sous-terrienne active se rend sur leur lieu de travail les yeux mi-clos.
Encore plein de sommeil, leurs rêves semi-évanouis, se mélangent avec la lumière acide, pas même une simulation de l'aube des rames qui ronflent et bercent d'illusions.
Automates actifs ou vacataires passifs, le métro est un dortoir !